Suite à l’épidémie du Coronavirus, la soirée ciné-concert de Eric Clapton : Life in 12 Bars n’aura malheureusement pas lieu ce samedi 25 avril à La Spirale. Les personnes désirant se faire rembourser peuvent s’adresser à la billetterie concernée. Nous ne manquerons pas de vous communiquer la nouvelle date une fois qu’elle sera fixée.

• Eric Clapton: Life in 12 Bars / 2017 / 134 min
• repas
• concert Kevin Flynn plays Eric Clapton

Places limitées – version originale anglaise sous-titrée en français.

Eric Clapton figure dans le monde entier parmi les rares légendes du blues et du rock encore en activité. Véritable icône, il a traversé les décennies, connaissant gloire et successions d’épreuves. De nature pudique, il s’est confié à la réalisatrice et productrice Lili Fini Zanuck, livrant pour la première fois ses drames les plus intimes. Mêlant archives personnelles, performances rares et témoignages inédits (B.B. King, George Harrison, Bob Dylan, Steve Winwood…), ce documentaire retrace la destinée emblématique de celui que ses fans qualifiaient de «GOD».

Ensuite, après un repas maison, place à la musique live: Kevin Flynn, légende fribourgeoise du blues-rock et grand admirateur d’Eric Clapton, célébrera le répertoire du maître en compagnie de ses vieux complices Markus Baumer au piano et Charlie Morris à la guitare.

Les cartes 5 entrées sont valables (2 cases).

– A Hard Day’s Night / 1964 / 87 min

– Repas

– Concert Sacha Love plays The Beatles

– Help ! / 1965 / 92 min

Places limitées – version originale anglaise sous-titrée en français.

Pour patienter en attendant la sortie du documentaire de Peter Jackson sur l’enregistrement de Let It Be, le dernier album des Beatles paru il y a cinquante ans, La Spirale vous propose une soirée entièrement dédiée aux Fab Four. Au programme, la projection des deux comédies déjantées tournées par les Beatles sous la direction de Richard Lester, A Hard Day’s Night (1964) et Help! (1965). L’occasion de redécouvrir ces deux oeuvres incontournables de la pop culture, entrecoupées d’un repas maison et d’un mini-concert acoustique de Sacha Love, qui reprendra quelques perles signées Lennon/McCartney.

Les cartes 5 entrées sont valables (2 cases).

Cet événement est complet. Un deuxième événement est agendé le dimanche 2 février dès 15h.

18h: A Hard Day’s Night / 1964 / 87 min

20h: repas

21h: concert Sacha Love plays The Beatles

22h: Help ! / 1965 / 92 min

Places limitées – version originale anglaise sous-titrée en français.

Pour patienter en attendant la sortie du documentaire de Peter Jackson sur l’enregistrement de Let It Be, le dernier album des Beatles paru il y a cinquante ans, La Spirale vous propose une soirée entièrement dédiée aux Fab Four. Au programme, la projection des deux comédies déjantées tournées par les Beatles sous la direction de Richard Lester, A Hard Day’s Night (1964) et Help! (1965). L’occasion de redécouvrir ces deux oeuvres incontournables de la pop culture, entrecoupées d’un repas maison et d’un mini-concert acoustique de Sacha Love, qui reprendra quelques perles signées Lennon/McCartney.

Les cartes 5 entrées sont valables (2 cases).

Places limitées – version originale allemande sous-titrée en français.

5 épisodes: 50.- repas de samedi compris

Samedi 2 février à 16h / 18h / repas (compris dans le prix) / 21h

Dimanche 3 février à 15h / 17h

En collaboration avec le ciné-club universitaire, La Spirale vous propose un événement cinématographique inédit : la projection in extenso de Huit heures ne font pas un jour/Acht Stunden sind kein Tag (1972), le chef-d’oeuvre de Rainer Werner Fassbinder. Ce feuilleton télévisé en cinq parties raconte la vie quotidienne d’une famille ouvrière allemande entre l’usine, le bistrot et la table de cuisine. Combinant divertissement populaire et critique sociale, cette série drôle et touchante qui reflète de façon concrète les utopies des années septante n’a rien perdu de sa fraîcheur et de sa pertinence.

Les 5 épisodes seront diffusés à la suite le samedi 2 février et le dimanche 3 février selon les horaires ci-dessus. Un repas maison compris dans le prix vous sera servi le samedi après le deuxième épisode.

Les places sont limitées, priorité sera donnée aux personnes qui suivront tous les épisodes. Les places restantes seront vendues sur place. Les cartes 5 entrées sont valables (2 cases).

Places limitées – version originale allemande sous-titrée en français.

5 épisodes: 50.- repas de samedi compris

Samedi 2 février à 16h / 18h / repas (compris dans le prix) / 21h

Dimanche 3 février à 15h / 17h

En collaboration avec le ciné-club universitaire, La Spirale vous propose un événement cinématographique inédit : la projection in extenso de Huit heures ne font pas un jour/Acht Stunden sind kein Tag (1972), le chef-d’oeuvre de Rainer Werner Fassbinder. Ce feuilleton télévisé en cinq parties raconte la vie quotidienne d’une famille ouvrière allemande entre l’usine, le bistrot et la table de cuisine. Combinant divertissement populaire et critique sociale, cette série drôle et touchante qui reflète de façon concrète les utopies des années septante n’a rien perdu de sa fraîcheur et de sa pertinence.

Les 5 épisodes seront diffusés à la suite le samedi 2 février et le dimanche 3 février selon les horaires ci-dessus. Un repas maison compris dans le prix vous sera servi le samedi après le deuxième épisode.

Les places sont limitées, priorité sera donnée aux personnes qui suivront tous les épisodes. Les places restantes seront vendues sur place. Les cartes 5 entrées sont valables (2 cases).

Vendredi 29 février 2008, 21h, / FOLK & CINEMA

En pré-ouverture du Festival International de Films de Fribourg (1.03-8.03.2008)

Etoiles montantes du pop-rock et du songwriting romand, personnalités uniques et orfèvres dans leur art, Fauve et Raphelson se prêtent à l’exercice difficile des Bandes Musicales. Mis sur pied par le café-théâtre Le Bourg et le label Gentlemen Records, l’exercice consiste à recréer et jouer en direct la bande son d’un film muet de leur choix. 

21h00 : Raphelson joue :

« The Fall of the House of Usher » (65min / 1928) de Jean Epstein.

La chute de la maison Usher de Jean Epstein est sans aucun doute la meilleure adaptation de la nouvelle inquiétante d’Edgar Allan Poe, qui conserve ici toute son étrangeté et sa puissance horrifique. Sir R. Usher peint obsessivement son épouse. Au fur et à mesure des portraits, la santé de la dame s’affaiblit, jusqu’à ce qu’elle décède. Mais notre homme reste persuadé qu’elle va se réveiller…

Le film, qui a pour sujet la malédiction d’une famille, s’attache aux « passages » du monde des vivants à celui des morts.

22h30 : Fauve joue :

« The Lodger » (59min / 1926)  d’Alfred Hitchcock.

A Londres, un tueur, qui se surnomme lui-même « Le Vengeur », s’en prend à de jeunes femmes blondes. Dans ce climat délétère, l’arrivée d’un locataire laconique attise la méfiance des propriétaires d’une pension de famille. Sa personnalité secrète paraît un aveu de culpabilité. Serait-il le Vengeur?

www.fauve.info

www.myspace.com/raphelson

Indissolublement associé à Federico Fellini, dont il fut le musicien fétiche, Nino Rota est non seulement l’un des plus célèbres compositeurs de musique de films, mais également l’un des musiciens majeurs de notre époque, dont les mélodies, tantôt brillantes et ironiques chez Fellini, tantôt dramatiques ou romantiques chez Visconti, continuent à nourrir l’imaginaire musical de ce siècle. Né en 1911, il fut un enfant prodige et a composé dans sa prime jeunesse des opéras et des œuvres pour orchestre, avant de débuter dans le cinéma en 1933. Il écrivit d’innombrables musiques de comédies et mélodrames populaires, avant de rencontrer Fellini en 1952. Dès lors, il créa toutes les musiques du maestro, dont il devint une sorte d’alter ego et d’inspirateur. Cette collaboration ne s’arrêta qu’avec le décès du compositeur en 1979, après le film-testament qu’est «Prova d’Orchestra». Passionnés depuis longtemps par la musique de Rota, le guitariste Gérard Pansanel et le saxophoniste Doudou Gouirand ont décidé d’arranger ce répertoire pour un orchestre de jazz. En compagnie du batteur Joél Allouche, du pianiste et accordéoniste Antonello Salis, du tromboniste Jean-François Boyard et du contrebassiste Mathias Demoulin, ils proposent une relecture à la fois respectueuse et imaginative des bandes originales de Fellini.

Ce sont trois chefs-d’œuvre de l’histoire du cinéma muet que le compositeur et saxophoniste américain Malt Darriau a choisi d’illustrer musicalement avec son groupe, le Paradox Trio, formé de quatre (!) musiciens. Cette formation inhabituelle (sax, flûte, violoncelle électrique, guitare et percussions) accompagnera en direct l’un des plus grands classiques du cinéma muet, «Le cuirassé Potemkine », du Russe Eisenstein, rendu célèbre par son montage haletant (le film compte 1300 plans) et par sa fameuse scène du massacre des escaliers d’Odessa. Le programme sera complété par la projection de deux chefs d’œuvre du cinéma surréaliste, le fameux « chien andalou » réalisé en 1928 par Luis Bunuel, avec la collaboration de Salvador Dali ainsi qu’un petit film expérimental réalisé par Marcel Duchamp « Anemic Cinéma ». Le Paradox Trio est formé de Mati Darriau, membre du groupe Klezmatics, l’un des artisans du renouveau de la musique klezmer aux Etats-Unis, de Brad Schoeppach, un guitariste très original entendu à la Spirale avec Dave Douglas, de Seido Salikofski, un grand spécialiste des percussions tziganes et de Rufus Cappadocia qui joue d’un étrange violoncelle électrique à cinq cordes.

Tiré d’un roman de Sir Arthur Conan Doyle (le créateur de Sherlock Holmes), «The Lost World» est un film muet de 1925, réalisé par Harry O. Hoyt. Ce très beau film d’aventures annonce «King Kong». par l’emploi systématique de maquettes de dinosaures mises au point par Marcel Delgado et de trucages réglés par Willis O’Brien. Chaque minute de projection nécessita le tournage de neuf cent soixante images et le film demanda quatorze mois de tournage. C’est donc sur une copie d’un véritable film culte que le pianiste et compositeur Gabriel Scotti est tombé un jour en fouinant dans un grenier. L’idée lui est venue d’écrire une bande-son préhistorique pour ce film étonnant, précurseur de « Jurassic- Park ». Il a entraîné dans l’aventure son ami Popol Lavanchy, contrebassiste ouvert à toutes les expériences. Il en résulte un «spectacle tonique, sensible et rigolo», où les deux musiciens jouent en direct sur le film. Plus qu’un simple accompagnement, c’est dans l’optique d’une véritable interaction que sont envisagés musiques et bruitages.

Cinéma

]]> https://www.laspirale.ch/blog/2008/10/18/alain-favre-georges-pascal/ Sat, 18 Oct 2008 08:08:08 +0000 http://www.laspirale.ch/concert/2505/alain-favre-georges-pascal/ Mercredi 15 janvier 1997, dès 20h30

Les Mercredis de la Spirale

Pour ceux qui ne l’ont pas encore vu, Alain Favre présente son étonnante vidéo « New York, 3 secondes trop tard », sur une musique de l’accordéoniste Georges Voillat. Ce dernier animera la suite de la soirée avec son complice Pascal à la guitare.

Avec le soutien de la Banque Cantonale de Fribourg