Inspirée par les musiques portugaise, brésilienne, capverdienne et angolaise, Maria Teresa fait partie de cette nouvelle génération qui, à l’instar de l’ambassadrice du genre Amalia Rodriguez (aujourd’hui disparue), amène une belle reconnaissance populaire au fado. Georges Moustaki, qui a repéré son talent, ne cesse de l’inviter lors de ses propres tours de chant. La belle s’accompagne ici des musiciens de Mayra Andrade.

www.myspace.com/mariateresamaria

Maria Teresa (voc), Francis Varis (acc), Toninho Do Carmo (g), Tarcism Gondim (g).

Jigs, reels et autres polkas, joués de façon traditionnelle, sont au programme du fameux Elandir. Remarqué dans différents festivals, et notamment au Banshees Lodge au Joli mois de mai 2005, ce groupe acoustique vous emmenera en Irlande profonde! Une soirée authentique en perspective!

Vanessa Loerkens, (violon, voc), Johan Perritaz, (fl. trav.irl., voc), Raphaël Combremont, (bouzouki, banjo), Jean-Daniel Ruedi, (uilleann pipes), Gilles Clavel, (bodhran, voc), Christophe Paul, (g)

Une voix qui touche; une voix pour oublier la banalité et partir vers d’autres terres. L’Irlandaise Shirley Grimes chante apparemment pour la première fois à Fribourg; courez-y ! Elle foulait la grande scène du festival de la Cité en juillet 2001. L’ambiance intimiste et chaleureuse de La Spirale conviendra parfaitement à Shirley Grimes et à son groupe. Pop? Folk? New Waters!

Shirley Grimes, voc, (g)  Oli Hartung, (g), Wolf Zwiauer, (b)  Fabian Kuratli,(dm)

Maria Doyle Kennedy joue et chante dans le film«The Commitments» d’Alan Parker. Participant aux débuts du groupe Hothouse Flowers, la chanteuse irlandaise est également présente sur trois albums du Black Velvet Band. «Charm», son nouveau CD, propose de magnifiques ballades et quelques tubes en puissance

Maria Doyle Kennedy, (voc), Kieran Kennedy, (g)

Le répertoire de ces deux musiciens est tiré de I’inépuisabIe fonds des griots Wolof et Manding  d’Afrique de l’Ouest, qu’ils ont enrichi de leurs  propres compositions, comme le veut la tradition. Chants historiques à connotations épiques, chroniques d’événements contemporains, chants de louanges ou de circonstances: le griot est à la fois la mémoire de son peuple et le miroir de son temps. Badara Seck joue en virtuose du xalam, sorte de petit luth à cinq cordes tandis que Keba Dramé est un spécialiste de la kora, cette harpe luth d‘Afrique occidentale. Sous le nom de «Peno» les deux griots ont créé un groupe dans lequel ils opèrent la synthèse des styles de leurs ethnies respectives.

L’ensemble de Stefan Bucur, c’est la tradition, transmise de siècle en siècle au sein d’une famille, de village en village, acquise du jour au jour, identifiée aux habitudes. Mais la plus grande joie de cet octette de virtuoses reste sans doute celle de nous faire vibrer en parcourant avec nous une Roumanie différente de celle que nous imaginons: accueillante, riche de mille couleurs sonores, en utilisant un grand nombre d’instruments (une vingtaine) aux sons étonnants et magiques. Ils nous offrent une musique toute de diversité, douce ou passionnée qui reste toujours fraîche dans son expression et nous fait découvrir, l’espace d’un concert, les chansons, danses et légendes oubliées, des mystérieuses Carpates juqu’au delta du Danube.

En collaboration avec le service culturel migros

Les Mercredis de la Spirale

Avec le soutien de la Banque Cantonal de Fribourg

Fondé en 1959 à Dharamsala, en Inde par le Dalaï Lama en exil, le «Tibetan Institute of Performing Arts» (T.I.P.A) a pour buts de préserver et développer les riches traditions des arts du Tibet. Tenzin Gönpo, né à 1955 à Lhodrak au Tibet, est entré en mai 1967 au T.I.P.A où il a étudié pendant plus de vingt ans l’art du chant, de la musique et du théâtre, devenant à son tour un artiste confirmé et un professeur reconnu. Chants et des danses populaires, chants lyrique, danses tantriques (dont certaines acrobatiques) n’ont aucun secret pour Tenzin Gönpo qui est également un éminent représentant de la musique sacrée et profane du Tibet, pratiquant un grand nombre d’instruments traditionnels. Aujourd’hui installé en France, il est directeur artistique de la Compagnie Tsangs-Pa, l’atelier culturel tibétain européen fondé en décembre 1997. A travers ses musiques, ses chants et ses danses, il propose un voyage étonnant au coeur de la culture séculaire de son pays.

En collaboration avec le Festival de films de Fribourg

Fondé en 1959 à Dharamsala, en Inde par le Dalaï Lama en exil, le «Tibetan Institute of Performing Arts» (T.I.P.A) a pour buts de préserver et développer les riches traditions des arts du Tibet. Tenzin Gönpo, né à 1955 à Lhodrak au Tibet, est entré en mai 1967 au T.I.P.A où il a étudié pendant plus de vingt ans l’art du chant, de la musique et du théâtre, devenant à son tour un artiste confirmé et un professeur reconnu. Chants et des danses populaires, chants lyrique, danses tantriques (dont certaines acrobatiques) n’ont aucun secret pour Tenzin Gönpo qui est également un éminent représentant de la musique sacrée et profane du Tibet, pratiquant un grand nombre d’instruments traditionnels. Aujourd’hui installé en France, il est directeur artistique de la Compagnie Tsangs-Pa, l’atelier culturel tibétain européen fondé en décembre 1997. A travers ses musiques, ses chants et ses danses, il propose un voyage étonnant au coeur de la culture séculaire de son pays.

En collaboration avec le Festival de Films de Fribourg

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